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Une récente visite au Musée de la Photographie à Charleroi et un visionnage en cours de l'excellent coffret Contacts (Arte) m'ont permis de découvrir le travail de Mario Giacomelli. Les photographies ci-dessus sont issues d'une série intitulée Io non ho mani che mi accarezzino il volto. Datant des années 1950, cette dernière contraste avec les premières productions de l'artiste : images rudes de résidents d'asiles, de malades attendant un quelconque miracle à Lourdes ou de paysages aux lourds sillons. Ces jeunes séminaristes jouent dans le blanc. Neige ou procédé technique ? Peu importe... Pureté, innocence, mais pourtant, personne ne caressera leur visage.
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