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« Il y a en outre le rythme large, concassé de la musique, - une musique extrêmement appuyée, ânonnante et fragile, où l’on semble broyer les métaux les plus précieux, où se déchaînent comme à l’état naturel des sources d’eau, des marches agrandies de kyrielles d’insectes à travers les plantes, où l’on croit voir capté le bruit même de la lumière, où les bruits des solitudes épaisses semblent se réduire en vols de cristaux, etc., etc. » (Antonin Artaud à propos de la musique balinaise dans Le théâtre et son double, 1938, Gallimard)
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